Presse 2018


 Publié le 05/05/2018 à 03:56

4e biennale de peintures d'enfants

 

 

Le jury, aux côtés de Jean-Claude Barousse du musée de peinture, qui s'est réuni le 30 avril pour décerner les prix./ Photo DDM.

Le jury, aux côtés de Jean-Claude Barousse du musée de peinture, qui s'est réuni le 30 avril pour décerner les prix./ Photo DDM.

 

 

Pour cette quatrième biennale internationale de peintures d'enfants lancée par le musée de peinture de Saint-Frajou, vingt pays ont répondu à l'appel, à grande joie des organisateurs. De nombreux nouveaux participants ont envoyé des peintures pour l'exposition qui sera inaugurée le 5 mai à 18 heures. 

«Les résultats sont extraordinaires, d'un très grand déploiement de l'imagination et d'excellentes qualités techniques», confie Ksenia Milicevic du musée de peinture. Elle souligne en souriant : «Le jury a encore eu du mal à distribuer des prix et en a encore augmenté le nombre».

La réunion du jury s'est tenue le 30 avril avec Nicole Cavin, peintre, Gérard Lartigue, sculpteur, Juliette Marne, écrivain, Gyslain Gadbin, photographe, Philip Makin, architecte et peintre et William Massias, photographe, qui a accueilli le jury à la salle des fêtes à Saveres où avait lieu cette délibération qui a duré toute la journée. 

Les enfants sont répartis en deux groupes : de 6 à 11 ans et de 12 à 14 ans. Les premiers prix pour chaque groupe ont été attribués à Elisabeth Julie Wong de Hong Kong, Chine et à Nina Kovacevic de Poula, Croatie. Les pays participants sont l'Argentine, l'Albanie, l'Azerbaïdjan, le Bahreïn, la Bulgarie, la Croatie, Israël, le Tadjikistan, la Russie, la Pologne, les États-Unis, l'Espagne, le Mexique, la Tunisie, la Polynésie, la Chine, la Roumanie, la République Tchèque, la Suisse, la Tunisie et la France bien sûr. Les écoles et les parents avec leurs enfants sont invités à venir au musée voir cette exceptionnelle exposition qui sera ouverte du 5 au 31 mai.

Publié le 02/08/2018 à 03:53, Mis à jour le 02/08/2018 à 08:23

Roger Bensaid endosse le costume de peintre

Expos

Du 28/07/2018 au 07/08/2018

 

 

En 2016, dans le cadre des «Belles heures de lecture»,

 Roger Bensaid était venu présenter ses livres «Spymaster Adagio»

 et «Spymaster Andante».

Samedi dernier, tout a commencé par le vernissage de l'exposition de 

peintures de Roger Bensaid au musée de Saint-Frajou. L'artiste y expose

 ses peintures jusqu'au 7 août. Un homme déjà connu du public par sa trilogie

 sur les aventures d'un espion démodé dont le dernier livre «Asseco Armageddon»

 vient d'être publié. En effet, en 2016, dans le cadre des lectures hivernales

 «Belles heures de lecture», Roger Bensaid était venu présenter ses livres

 «Spymaster Adagio» et «Spymaster Andante».

Cette fois, il revient au musée avec une série de peintures dont certaines sont aussi

 liées à des souvenirs de cet écrivain, peintre et membre de l'armée britannique. 

«Ses peintures, le plus souvent stylisées lorsqu'il s'agit des personnages, 

sont profondément bleues pour peindre le lointain de l'océan. Les souvenirs se

 mêlent à des paysages où à des événements» souligne l'artiste Ksenia Milicevic

 des Amis du musée de peinture de Saint-Frajou.

Roger Bensaid est membre de la Fine Art Guild et cette année, 

il a été reconnu par la Society of Artists. Né à Tenby en Galles du Sud, 

il a servi dans l'armée britannique pendant 24 ans, puis il a passé 17 ans dans l'industrie

 pétrolière avant de devenir consultant pendant 10 ans pour le gouvernement et d'autres clients

 dans le monde entier. C'est ainsi que toute cette expérience lui donne une plate-forme de souvenirs

 à peindre et à écrire. Il s'est adonné à la peinture tout au long de sa carrière militaire et civile

 et sa peinture la «Cène» a été choisie parmi les œuvres d'artistes pour être accrochée dans une

 des principales galeries d'art de Londres en 1978. Roger Bensaid, qui vit actuellement à Lilhac, 

sera présent au musée lors du vernissage de l'exposition ce samedi.

 

Y.C-S

 

 

Lors de la Nuit 2017, le musée de Saint-Frajou avait mis la musique à l'honneur avec le groupe folk Triangle./ DDM
Lors de la Nuit 2017, le musée de Saint-Frajou avait mis la musique à l'honneur avec le groupe folk Triangle./ DDM

Le musée de Saint-Frajou se prépare pour la Nuit européenne des musées qui aura lieu ce samedi 19 mai. À cette occasion, il ouvrira ses portes de 10 heures à 12 heures et de 14h30 à 23 heures. Cette année, la Nuit des musées coïncide avec la Biennale internationale de peinture d'enfants qui se tient actuellement dans la salle des expositions temporaires. Pour relier ces deux événements, le musée propose des séances de dessin qui se dérouleront de 14h30 à 15h30 et de 18h30 à 19h30. Au milieu des superbes travaux des enfants venus d'une vingtaine de pays différents, seront installés des tables, des feuilles de papier et des crayons de couleurs pour ceux qui souhaitent passer un moment de détente. Parallèlement, l'exposition permanente sera accessible aux visiteurs toute la journée puis, dans le cadre du CinéArt, il est prévu la projection du film «La jeune fille à la perle» à 21 heures. «Il s'agit de l'adaptation du roman inspiré par le tableau du même nom de Vermeer. Pour aider ses parents dans la misère, la jeune et ravissante Griet se fait engager comme servante dans la maison du peintre Johannes Vermeer. Elle s'y occupe du ménage et des six enfants du maître. La famille Vermeer vit des difficultés économiques mais ne veut pas que cela se sache...» explique Ksenia Milicevic du musée de peinture. L'entrée, pour tout le programme de cette journée dédiée à la Nuit Européenne des musées, est libre et ouverte à tous.                                Y.C-S

 

Le musée rend hommage à Bernard Couzine

La prochaine exposition sera consacrée à Bernard Couzinet, décédé après une longue maladie respiratoire./ Photo DDM.
La prochaine exposition sera consacrée à Bernard Couzinet, décédé après une longue maladie respiratoire./ Photo DDM.

En février dernier, le musée de peinture de Saint-Frajou a perdu l'un des amis du musée, Bernard Couzinet, décédé prématurément après une longue maladie respiratoire.Docteur en Sciences des Matériaux, ingénieur à l'université Pierre et Marie Curie, Paris V, Bernard Couzinet était aussi un remarquable poète, un photographe et un musicien. Il s'intéressait aussi à l'histoire locale et a réalisé un site web sur Lévignac sur Save. En 2015 il a publié "Errance"

Les amis du musée de peinture de Saint-Frajou, souhaitant lui rendre hommage, organisent une exposition des photographies de Bernard. Le public avait déjà pu apprécier quelques-unes de ses œuvres lors de son exposition «Saint-Frajou photo» en 2017. Dans l'exposition seront présentées aussi les photographies réalisées pour son livre «Errance».

Lors du vernissage qui aura lieu le 21 avril à 18 heures, Jean-Claude Barousse, président de l'association des amis du musée, lira les poèmes de Bernard Couzinet. L'exposition sera ouverte au public du 21 avril au 2 mai. La Dépêche du Midi

2 courts-métrages sur le dessin au CinéArt

Le cinéma près de chez vous

Les séances de CinéArt le premier dimanche du mois à 18 heures s'avérent être un bon choix. / Photo archives

Les séances de CinéArt le premier dimanche du mois à 18 heures s'avérent être un bon choix. / Photo archives

 

Lors de la séance de CinéArt dimanche dernier au musée de peinture, deux courts-métrages étaient projetés : Khamseh ou Les Cinq Livres de Nezâmi et Dessin, la ligne d'où tout surgit. Ces deux films avaient pour sujet le dessin.

Khamseh, le manuscrit persan d'Ispahan réalisé entre 1619 et 1624 et conservé à la Bibliothèque nationale à Paris, déploie de superbes dessins aux tracés très fins et souples rehaussés de couleurs vives obtenues par la préparation des plantes et minéraux. À l'écran, le spectateur gagne à pouvoir observer en détail ces extraordinaires dessins où dans l'original les personnages ne dépassent pas 5 cm.

Jardins exotiques et histoires amoureuses

Aussi, le dessin se prête parfaitement à la narration des histoires merveilleuses ou tragiques. Il sublime les jardins exotiques et les histoires amoureuses. Le deuxième film racontait l'histoire du dessin qui a été depuis l'antiquité considéré comme base de tout art. «Film important pour rappeler aux artistes et à tout amateur d'art que sans un dessin réfléchi et bien structuré, il n'y a pas d'art.

Rappel important dans ces temps d'improvisation, de distorsions arbitraires et de l'éloge de la laideur» souligne l'artiste Ksenia Milicevic du musée de peinture. Les séances de CinéArt du premier dimanche du mois à 18 heures, qui ont remplacé celles du premier samedi, se sont avérées être un bon choix car le public a été très nombreux.

La prochaine séance est prévue pour le dimanche 7 octobre à 18 heures avec au programme «Chagall, le peintre à la tête renversée».

L'entrée est libre.

Nina est venue de Croatie pour recevoir son 1er prix

Nina Kovacevic, la gagnante du 1er prix est venue spécialement de Croatie avec sa famille pour cette occasion./ Photo DDM
Nina Kovacevic, la gagnante du 1er prix est venue spécialement de Croatie avec sa famille pour cette occasion./ Photo DDM

La Biennale internationale de peinture d'enfants a reçu de nombreux visiteurs et la clôture a eu lieu, jeudi dernier, au musée de peinture. Nina Kovacevic, la gagnante du 1er prix du deuxième groupe (des 12 à 14 ans) est venue de Croatie avec sa famille spécialement pour cette occasion. Ils sont de Pula en Istrie, la ville dont l'histoire remonte à 3 000 ans liée au mythe des Argonautes et la Toison d'or. C'est une ville peuplée de monuments antiques comme le Colisée romain, le temple d'Auguste, l'arc de triomphe, des restes de deux théâtres antiques….Une peinture réalisée d'un seul jet

C'est donc dans cette ambiance qu'a grandie Nina, qui a commencé à s'orienter très tôt vers la peinture à laquelle elle souhaite se consacrer. Le sujet de la Biennale de Saint-Frajou, cette année, «Contes et légendes de votre pays» correspondait parfaitement à cette atmosphère. D'après ses parents, la peinture a été réalisée d'un seul jet. Nina ne prend pas des cours particuliers de peinture, elle travaille plutôt seule. «Mais vu les autres envois de sa classe, leur enseignante Roberta Weissman Nagy, suit avec beaucoup d'attention le travail des enfants. D'ailleurs, si on veut tirer une conclusion au sujet de cette 4e Biennale, c'est le remarquable travail des enseignants de la grand majorité des pays. Parfois, les enfants sont trop dirigés, parfois laissés sans aucune instruction et, comme résultat, on ne voit pas de différence entre les enfants de 6 à 10 ans. Il n'y a aucun développement. Mais dans la majorité des cas, ils travaillent avec beaucoup de finesse et sous leur direction, les enfants expriment leur personnalité et parallèlement, développent leurs capacités», souligne Ksenia Milicevic du musée de peinture.

Une autre richesse des œuvres de ces très jeunes artistes est l'expression de leurs cultures toujours très vivantes. Très heureuse de ce 1er prix, Nina Kovacevic a admiré les peintures des autres participants et elle a voté pour le prix du public qui est allé à Maria Teodora Ureche, 11 ans, de Corbeni (Roumanie) pour sa peinture «Merveilleux bosquet».

 

 

L'histoire des châteaux de la Save
Aujourd'hui, samedi 13 octobre, Edmond Martin donnera une conférence au musée de peinture de Saint-Frajou. Il s'est installé à Lévignac il y a 45 ...